A quelques exceptions près, quand les femmes artistes furent connues, c’est parce qu’elles se racontèrent à travers leurs traumatismes, de femme.
J’aimerais vous parler, ici, des femmes, tout simplement. Des femmes de la vie réelle, non fantasmées, non cantonnées dans les rôles auxquels l’Histoire et la société les ont désignées jusqu’à maintenant: mère, trophée, faire-valoir, séductrice dangereuse, objet sexuel...
Je voudrais vous parler des grandes oubliées de l’histoire de l’art, de ces femmes qui par leurs éclats de rires aux terrasses des cafés nous font sourire, de celles dont le visage se voile de mystère lorsque pensives, elles écrasent leur cigarette. Celles qui fument, celles qui boivent, celles qui rient, celles dont le tourment nous bouleverse parfois parce qu’il est criant de vérité et de grandeur d’âme. Pensez autour de vous, à toutes ces femmes que l’on aime, celles que l’on connait bien, ou si peu, les passantes, les amoureuses, les amies, les soeurs et les mères. Je pense à ces femmes libres d’aimer et de penser, à tous ces cerveaux bien fait, l’éclat de leur regard des esprits vifs éveillés.
Cette série est un hommage, une histoire d’amour. Je les aime pour ce qu’elles sont, toute entière. Pour cette puissance calme et l’énergie de leur rire, pour leur sens de la vie, leurs inquiétudes et leurs cheminements. Et je les aime encore plus, parce que leurs fragilités sont bouleversantes d’humanité.
Par les couleurs, par les compositions choisies, sans plus d’artifice que quelques indices pour les situer, je voudrais vous émouvoir comme elles m’ont émues.
Vous ne trouverez pas de représentation fantasmée d’épouse parfaite, de femme hypersexualisée, elles ne feront pas l’objet d’un quelconque scandal non plus. Je vous présente des femmes décomplexées, aux gestes naturels, dans l’espace public et privé... Des femmes vivantes et bien vivantes, des femmes de 2018.
Cette série est le début d’une réflexion autour d’un projet plus vaste sur la représentation des genres et des relations entre femmes et hommes dans l’art.
J’aimerais vous parler, ici, des femmes, tout simplement. Des femmes de la vie réelle, non fantasmées, non cantonnées dans les rôles auxquels l’Histoire et la société les ont désignées jusqu’à maintenant: mère, trophée, faire-valoir, séductrice dangereuse, objet sexuel...
Je voudrais vous parler des grandes oubliées de l’histoire de l’art, de ces femmes qui par leurs éclats de rires aux terrasses des cafés nous font sourire, de celles dont le visage se voile de mystère lorsque pensives, elles écrasent leur cigarette. Celles qui fument, celles qui boivent, celles qui rient, celles dont le tourment nous bouleverse parfois parce qu’il est criant de vérité et de grandeur d’âme. Pensez autour de vous, à toutes ces femmes que l’on aime, celles que l’on connait bien, ou si peu, les passantes, les amoureuses, les amies, les soeurs et les mères. Je pense à ces femmes libres d’aimer et de penser, à tous ces cerveaux bien fait, l’éclat de leur regard des esprits vifs éveillés.
Cette série est un hommage, une histoire d’amour. Je les aime pour ce qu’elles sont, toute entière. Pour cette puissance calme et l’énergie de leur rire, pour leur sens de la vie, leurs inquiétudes et leurs cheminements. Et je les aime encore plus, parce que leurs fragilités sont bouleversantes d’humanité.
Par les couleurs, par les compositions choisies, sans plus d’artifice que quelques indices pour les situer, je voudrais vous émouvoir comme elles m’ont émues.
Vous ne trouverez pas de représentation fantasmée d’épouse parfaite, de femme hypersexualisée, elles ne feront pas l’objet d’un quelconque scandal non plus. Je vous présente des femmes décomplexées, aux gestes naturels, dans l’espace public et privé... Des femmes vivantes et bien vivantes, des femmes de 2018.
Cette série est le début d’une réflexion autour d’un projet plus vaste sur la représentation des genres et des relations entre femmes et hommes dans l’art.